Copywriting Gratuit Aide et Secrets

On est tous passé par là : on se réveille un matin avec l’impression amère qu’on n’exerce plus aucun contrôle sur sa vie, qu’on ne fait qu’accepter passivement tout ce qui nous tombe dessus. Et on se dit qu’il est temps de réagir et de prendre les rênes de sa vie en main.

Suivons-nous un chemin déjà frayé ?
Ou sommes-nous en train de tracer le nôtre ?

Et puis, les impératifs de la vie nous rattrapent. On tombe de nouveau dans le cercle de l’habitude et la zone de confort. Et bientôt, on devient un autre déambulant approbateur sans aucun sens d’initiative.

Mais il suffit parfois d’une pensée révélatrice, d’une remarque acerbe, pour décider d’entreprendre un processus de mutation et de changement profond dans notre vie.

Et si vous prenez le temps aujourd’hui, de changer, le cours de votre vie?

La force de l’esprit

En préparation des Jeux olympiques de 1980, les scientifiques russes ont préparé différents programmes d’entraînement pour leurs athlètes. Certains groupes ne faisaient que de l’entraînement physique, d’autres faisaient en plus des exercices de visualisation où ils imaginaient avec détails leurs succès futurs.

Le groupe qui a obtenu les meilleurs résultats ? C’est le groupe qui consacré la majorité de son temps à l’entraînement mental, ce sont ceux qui ont pris le temps de visualiser leur succès avant qu’il ne devienne réalité.

Et c’est justement cet entraînement mental que vous allez reproduire avec votre future “Vision Board”.

Une vision claire de vos objectifs

Une vision board, simplement, est un collage de photos et de messages qui représentent vos rêves et vos objectifs.
En créant ce tableau à la main, vous allez clarifier et éclaircir vos prochains objectifs.
En regardant ce tableau, vous vous projetterez d’un coup dans votre futur et dans la représentation de votre moi idéal.

Et en observant ce tableau tous les jours, vous aurez toujours vos objectifs présents à l’esprit. Vous ne risquez pas de vous perdre à nouveau dans un chemin escarpé puisque la bonne route est là, bien claire et précise, juste devant vous.

Sur la magie de créer votre tableau de vie à la main

Rien de mieux que des outils traditionnels pour créer votre tableau d’objectifs : un tableau d’affichage, une collection de magazines, un ciseau, un stylo et de la colle.
En créant ce tableau à la main, il deviendra votre oeuvre personnelle, et avec un peu de fibre artistique, vous créerez une oeuvre d’art qui vous insufflera de l’énergie à chaque fois que vous la regardez.

Pour créer votre tableau de vie :

1. Prenez un moment pour réfléchir à vos objectifs et à ce que vous souhaitez accomplir. Projetez-vous dans le futur en imaginant votre moi idéal dans 5 ans.
2. Parcourez les magazines et découpez toutes les photos qui vous inspirent.
3. Placez ces photos sur le tableau, ajoutez des photos personnelles et des messages, laissez libre court à votre créativité.
4. Lorsque votre tableau sera prêt, placez-le dans un endroit bien visible où vous pourrez le voir tous les jours.

Rêvasser n’a jamais été aussi utile

Il n’y a pas de sensation comparable à celle de vous perdre dans les images de votre tableau : un pur moment de relaxation et d’inspiration. Imaginez que vos objectifs ont déjà été accomplis, regardez-vous agir en conséquence. Ne vous étonnez pas si votre coeur commence à battre fort. Vous sortirez de cette rêverie pétillant d’idée et d’énergie, prêt à agir sur vos objectifs.

Et vous pouvez même transformer ceci en un rituel quotidien de méditation : un quart d’heure de visualisation tout les matins avant de commencer votre journée.

Avec ce tableau, vous avez maintenant une vision générale de ce que vous souhaitez accomplir., Vous avez clarifié votre vision et, surtout, passez à l’action.

Note personnelle: A l’approche de Noël, ce petit article en développement
personnel qui pourra vous faire réagir: Faites-vous bon usage de votre temps?

La vie n’est pas trop courte …c’est nous qui la perdons
Chaque instant de cette vie compte.

Pourquoi nous plaindre de la nature? Elle nous a bien traités:
la vie est longue si on sait en user.

Mais l’un est prisonnier d’une insatiable avidité,
l’autre absorbé par une application laborieuse à
d’inutiles travaux; l’un est gorgé de vin, l’autre
abruti par le paresse; l’un est miné par une
ambition toujours dépendante des décisions des
autres, l’autre entraîné par la passion du commerce
sur terre et sur mer dans l’espoir de s’enrichir.

Il y a ceux que tourmente une passion de la guerre,
infligeant des dangers aux autres ou s’inquiétant
de leur survie; ceux qui se consument dans la
servitude volontaire d’autres esprits plus grands
qu’eux.
Beaucoup sont captifs d’une aspiration à posséder
la beauté d’autrui ou du soin de la leur.
La plupart ne recherchent rien de précis, et une
légèreté vagabonde, inconstante, vite lassée, les
jette sans cesse vers de nouveaux desseins.

Ils ne savent où diriger leur course et le destin
les surprend inactifs et bâillants.

C’est au point que je n’hésite pas à prendre à
mon compte cette phrase prononcée comme un
oracle par le plus grand des poètes:
«La partie de la vie que nous vivons est courte.»
Tout le reste n’est pas de la vie, c’est du temps.

Qu’y a-t-il de plus insensé que l’indignation
de certaines gens? Ils se plaignent de leurs
supérieurs qui n’ont pas le temps de leur
accorder une audience. On ose se plaindre
de l’orgueil de l’autre quand on n’a jamais
de temps pour soi-même!

Pourtant, cet autre, qui que tu sois, t’a
peut-être regardé parfois d’un air insolent,
mais il t’a regardé, il a prêté l’oreille à tes
paroles, il t’a admis à ses côtés: toi, tu n’as
jamais daigné te regarder ni t’écouter toi-même.

Tu n’as donc pas à te faire gloire des devoirs
rendus à quiconque; si tu les as rendus, ce
n’était pas parce que tu voulais être avec un
autre, c’était parce que tu ne pouvais être
avec toi.

Les plus grands génies ont beau tomber
d’accord sur l’aveuglement de la nature
humaine, ils ne s’en étonneront jamais
assez. On ne laisse personne empiéter sur
ses domaines; au moindre désaccord au
sujet de leurs limites on court se saisir
d’armes et de pierres, mais on laisse les
autres empiéter sur sa vie; bien mieux,
on fait entrer soi-même ceux qui vont en
devenir les accapareurs.

On ne trouvera personne qui veuille partager
son argent, mais entre combien de gens
chacun distribue-t-il sa vie?
On est circonspect quand on veut préserver
son patrimoine, et en même temps, s’il s’agit
de jeter au vent son temps, le seul bien dont
il serait honorable d’être avare, quelle générosité!

Il serait donc juste de prendre à partie
quelqu’un dans la foule des vieillards et de
lui dire: «Nous te voyons arrivé à l’extrême
limite de la vie, tu portes sur tes épaules
cent ans ou davantage. Allons, reviens en
arrière, fais le compte de ton existence.

Calcule combien de temps t’ont pris créanciers,
maîtresses, rois ou clients, querelles conjugales;
les allées et venues à travers la ville pour des
mondanités; ajoute les maladies que l’on
s’invente, ajoute encore le temps inemployé:
tu verras que tu as moins d’années que tu
n’en comptes.

Rappelle-toi les occasions où tu t’en es tenu
à ta décision, quel jour s’est passé comme tu
l’avais résolu, quand tu as disposé de toi-même,
quand ton visage est resté impassible, ton âme
intrépide, ce que tu as accompli au cours d’une
si longue existence. Combien de gens ont
dilapidé ta vie sans que tu t’aperçoives de ce que
tu perdais, tout ce que t’ont soustrait vaines
douleurs, sottes allégresses, avide cupidité,
flatteries du bavardage, et vois combien il te
reste peu de ce qui t’a appartenu: tu comprendras
que tu meurs avant d’avoir atteint la maturité.

Vous vivez comme si vous étiez destinés à vivre
toujours, jamais vous ne prenez conscience de
votre fragilité, vous ne faites pas attention à
tout ce temps déjà passé.

Quelle en est la raison?

Vous dissipez comme si vous aviez des
ressources inépuisables, alors que peut-être
ce jour que vous consacrez à tel homme ou
à telle occupation est le dernier.

Habités par toutes les craintes propres à
un mortel, vous avez en même temps tous
les désirs d’un immortel.
Tu entendras la plupart des gens déclarer:
“A cinquante ans je m’éloignerai des affaires,
à soixante je me démettrai de toutes mes
fonctions.”
Et qui t’a garanti que ta vie durera au-delà
de cela? Qui admettra que le sort s’accorde
à tes plans? N’as-tu pas honte de te réserver
le reste de ta vie et de destiner aux progrès
de ton âme le temps seulement où tu ne seras
plus bon à autre chose? N’est-ce pas bien tard
de commencer à vivre au moment où il faut
cesser?
Comme la nature humaine est sottement
insouciante lorsqu’elle repousse à cinquante
ou soixante ans les saines résolutions et
prétend commencer à vivre à un âge auquel
peu sont parvenus!

Tu te demandes peut-être ce que j’appelle
les gens absorbés? Ne crois pas que je désigne
par ce terme uniquement ceux qu’on ne peut
faire sortir de la basilique qu’en lâchant les
chiens ou qui se laissent écraser fièrement
par la foule de leurs suiveurs ou misérablement
parmi ceux des autres, ni ceux que leurs
obligations arrachent de leur maison et qui vont
se presser à la porte d’autrui.

Il est des gens que leurs loisirs mêmes
absorbent: dans leur villa ou sur leur lit, en pleine
solitude, même s’ils ont pris leurs distances par
rapport au monde entier, ils sont importuns à
eux-mêmes: dans ce cas, leur vie n’est pas
une retraite, mais une absorption désœuvrée.

Parleras-tu de retraite pour celui qui range
minutieusement des vases de Corinthe,
rendus précieux par la manie de quelques-uns,
et consume la plus grande partie de ses jours
au milieu de fragments rouillés?
Ceux-là n’ont pas de loisirs, mais des occupations
oiseuses.

Il serait trop long de passer en revue, un par un,
ceux dont la vie s’est consumée à jouer aux
échecs, ou à se faire dorer au soleil.

Ils ne profitent pas d’un loisir, ceux dont les
plaisirs sont la grande affaire.
Quant à ceux qui sont plongés dans d’inutiles
travaux d’érudition, nul ne mettra en doute
qu’ils se donnent bien de la peine pour rien;
et ils sont légion à présent.
Ce fut jadis une maladie de Grecs que de se
demander combien Ulysse avait de rameurs,
si c’est L’Iliade ou L’Odyssée qui a été écrite
en premier.

La vie est une pièce de théâtre : ce qui compte,
ce n’est pas qu’elle dure longtemps, mais qu’elle
soit bien jouée -Sénèque

Texte adapté
Si vous souhaitez lire le texte en intégralité :
L’intégralité de la lettre de Senecca en Anglais

Et maintenant:
Est-ce qu’une personne est en train d’accaparer votre vie ?
Perdez-vous trop de temps dans des activités oisives ?

Aujourd’hui (30 sept.2010) pour changer
un peu, deux notes amusantes qui ont été
envoyées au fisc.

CONTRIBUABLES
copie de vrais courriers
reçu par le trésor public…

Cher Monsieur.
J’ai l’honneur d’accuser réception de votre lettre du 12 avril dernier par laquelle, pour la troisième fois, vous me réclamez le remboursement de l’argent que je vous dois. Sachez tout d’abord que je ne conteste pas cette dette et que j’ai l’intention de vous rembourser aussi tôt que possible. Mais d’autre part, je vous signale que ]’ai encore beaucoup d’autres créanciers, tous aussi honorables que vous et que je souhaite rembourser aussi. C’est pourquoi, chaque mois, je mets tous les noms de mes créanciers dans un chapeau et en tire un au hasard que je m’empresse de rembourser.

J’ose espérer que votre nom sortira bientôt. Entre-temps, je vous prie d’agréer, monsieur. l’assurance de mes sentiments distingués.

P.S. : Votre dernière lettre étant rédigée de manière fort peu courtoise, j’ai le regret de vous faire savoir que vous ne participerez pas au prochain tirage.

Monsieur l’agent du Trésor Public,
Mon colis a pu vous étonner au départ. Alors voilà quelques explications. Je vous joins à cette lettre une photocopie de l’article du Nouvel Observateur intitulé « Les vraies dépenses de l’état » vous noterez que dans le quatrième paragraphe, il est précisé que l’Élysée a l’habitude de payer des brouettes 5200 francs, des escabeaux 2300 francs et des marteaux 550 francs pièce. Par ailleurs, un très intéressant article du Canard Enchaîné dont la bonne foi est bien connue (copie également jointe) rapporte que le prix des sièges WC du nouveau Ministère des Finances est de 2750 francs pièces. Vous devant la somme exacte de 13216 francs pour l’année fiscale qui s’achève, je vous adresse donc
dans ce colis quatre sièges WC neufs et cinq marteaux, le tout représentant une valeur de 13750 francs.
Je vous engage par ailleurs à conserver le trop perçu pour vos bonnes oeuvres ou bien d’utiliser les 434 francs restant pour acheter un tournevis supplémentaire à notre Président de la République (voir article “Les vraies dépenses de l’état“).
Ce fut un plaisir de payer mes impôts cette année, n’hésitez pas, à l’avenir à me communiquer la liste des tarifs usuels pratiqués par les principaux fournisseurs de l’état.
J.0., un contribuable heureux.

Note: C’est une parenthèse dans les articles de copywriting avec Phase 3

Soyez les bienvenues, Gene, Israel, Mathieur, Gary, Aline, Christine, Christophe, Arnaud, Bib, Zan, Jacq, Titi…

Voici 20 vidéos de phase 3 à regarder.
Soit vous adhérez soit vous rejetez mais le quatorzième épisode ne peut pas vous laisser indifférent…

Premier épisode : Introduction
Deuxième épisode : Symbolisme Religieux
Troisième épisode : le Temps des Grandes Tromperies
Quatrième épisode : Globalisation et Capitalisme
Cinquième épisode : Apparence et réalité
Sixième épisode : La Civilisation moderne de l’Ouest
Septième épisode : Impérialisme par la guerre
Huitième épisode : La Terre Sainte
Neuvième épisode : La différence entre le Judaïsme et le Sionisme
Dixième épisode : Phase 3
Onzième épisode : L’humanité informatisée
Douzième épisode : Les morts-vivants
Treizième épisode : Les pièges de cet Âge
Quatorzième épisode : L’industrie alimentaire
Quinzième épisode : Poisons prioritaires
Seizième épisode : Meurtres à la mode
Dix-Septième épisode : Découvertes de l’équilibre
Dix-Neuvième épisode : La lumière intérieure
Vingtième épisode : Sauvez le monde, détruire le monde

Voici 20 vidéos de phase 3 à regarder.

Une vidéo de 8 minutes qui pose bien des questions

Voici une classification fondée sur trois séquences de l’évolution
de notre société :les pré-modernes, les modernes et les post-modernes.

Et un article complet (3000 mots) Devenir un Leader en 28 Etapes
l’inscription dans la zone de droite (gratuit) permet d’ouvrir le contenu

L’esprit des pré-modernes est régi par la pensée magique et la Foi en des religions dogmatiques.

Les modernes construisent leur identité dans le paradigme économique. Ils recherchent la richesse économique et l’argent.

Les post-modernes voient la richesse selon un autre prisme spatio-temporel. Leurs préoccupations vont davantage vers la mixité culturelle, la résolution pacifique des conflits, les préoccupations environnementales. Ils bâtissent la société informationnelle. Leurs valeurs clés sont la responsabilité, l’éthique et le développement.

Les sept niveaux de leadership à ces trois grandes évolutions.
Chez les pré-modernes, nous trouvons deux niveaux de leadership.

• Le compétiteur (niveau 1) considère la performance sous un angle individualiste et excelle dans la défense de ses intérêts propres.
• Le médiateur (niveau 2) intègre la dimension collective mais recherche avant tout à maintenir les grands équilibres, le statu-quo.

Du côté des modernes,

• l’expert (niveau 3) s’illustre dans la maîtrise d’une science ou d’un savoir. Son atout majeur est de résoudre des problèmes d’ordre technique ou scientifique.
• Le réalisateur (niveau 4) mobilise son expertise et son intelligence pour atteindre les objectifs qu’on lui a assignés. Son action et la reconnaissance de ses capacités sont centrées sur la création de valeur économique.

Les post-modernes font émerger trois autres niveaux de leadership.

• Le stratège (niveau 5) fait preuve de courage pour remettre en question l’ordre établi, les façons de faire, les logiques de pensée.
• Au sein d’une organisation donnée, l’énacteur (niveau 6) rend possible l’émergence de solutions durables qui correspondent à un niveau de complexité élevé, c’est-à-dire en tenant compte des différentes parties prenantes. Il cherche les conditions de transformation individuelles et collectives et sait les mettre en œuvre au service du collectif.
• Enfin, l’alchimiste ou leader symbolique (niveau 7) est capable de mener des transformations culturelles et sociales du même ordre que celles portées par des personnalités comme Gandhi, le Dalaï Lama par exemple.

Après vingt ans d’accompagnement des dirigeants, il semblerait que les leaders se répartissent dans les proportions suivantes :

compétiteur (5%), médiateur (12%), expert (38%), réalisateur (30%), stratège (10%), énacteur (4%), alchimiste (1%).

De votre point de vue, à quel niveau situez-vous vos dirigeants ?

Et à quel niveau pensez-vous qu’ils devraient se trouver en fonction de votre connaissance des enjeux de votre organisation ?

Un vrai leader

cultive

son hautenticité.

Les dix
commandements
du Leader.

Définition: guide expérimenté, sage conseiller

1.Vivre vos propres valeurs en tant que leader
est une composante clé importante du leadership
authentique. Vous devez examiner ces valeurs
périodiquement pour vérifier leur validité dans
l’environnement actuel.

Exemple : l’équilibre Travail-vie privée n’est plus
un avantage. Cela peut être une exigence essentielle
pour attirer les meilleures cerveaux dans une entreprise.

2. Des promesses tenues
Avez-vous l’habitude de faire des promesses
trop rapidement que vous savez d’expériences
antérieures que vous ne pourrez pas tenir ?
Remémorez vous les promesses faites, à qui,
et si vous avez pu accomplir certaines d’entre elles.

3. Il y a une réelle liberté quand
nous lâchons toute affectation.
Y a-t-il des moments dans votre vie où vous
vous êtes vu forcé de faire un show pour
impressionner les autres ?
Décidez d’arrêter cela, une bonne fois pour toutes.
Regardez-vous évoluer quand vous n’êtes plus
encombré par le poids de la prétention.
Dites-vous, « je suis assez » - et vivez le.

4. Parlé vrai, confiance en soi, et simplicité
Les pierres construisant la substance ; le triomphe
sur l’image.
Pensez à la façon d’en faire des habitudes quotidiennes.

5.Avoir de la cohérence
Par exemple, êtes-vous aimable avec le certaines
personnes, mais pas avec d’autres ?
Êtes-vous complètement véridique dans quelques
circonstances, mais pas dans d’autres ?

6.Rassembler des histoires personnelles
que vous pouvez employer pour illustrer à d’autres
des domaines importants de votre style de leadership.
Ce qui vous motive pour être un leader ou votre
philosophie en tant que leader et qui vous êtes
en tant que personne.
Les histoires personnelles sont la forme la plus
efficace de raconter des anecdotes pour les leaders.

7. L’adversité découvre notre vrai tempérament.
Analysez votre comportement quand les choses
tournent mal.
Souvenez-vous de cela, en tant que leader,
vous êtes en permanence sous le regarder d’autrui.
Les personnes veulent être inspirées par vous.

8. Quand on vous donne un manuscrit que vous
n’avez pas écrit par vous-même pour une présentation
que vous devez faire, passez du temps supplémentaire
à y mettre vos propres mots.
Purgez vos présentations des termes compliquéss,
qui finissent souvent pour les autres à remettre en cause
votre authenticité en tant qu’intervenant.

Winston Churchill, qui disait,
« parlez court, des mots simples d’utilisation commune. »

9.Êtes-vous obligé de vivre en désaccord entre
qui vous êtes et ce que vous faites ?
Ecoutez-vous les chuchotements de votre cœur ?
Prenez aujourd’hui la résolution de mener les actions
nécessaires pour vous reconnecter avec vos passions
et vos valeurs.
Si ce n’est pas possible pour vous en raison des
circonstances présentes, pensez à de petits
compromis que vous pouvez commencer à faire dès
maintenant pour être plus en harmonie.

10. Si vous êtes un leader émergent.
Commencez par les décisions les plus petite, et
progressivement augmenter leur importance vers
les plus significatives. C’est seulement quand vous
vous libérez de la nécessité d’avoir l’approbation des
autres que vous pouvez vraiment commencé à vous
transformer en leader authentique que vous avez
toujours eu envie d’être.

Christian H. Godefroy, un de mes mentors, a passé son
Brevet des Colèges (BEPC) à 14 ans. Il a obtenu la note
maximum en maths !