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Archive pour la catégorie ‘Communicateurs’

Que faire en cas de “trou de mémoire” ?

Lundi 30 avril 2012

peur trou de memoireCela peut arriver au meilleur communicateur :
tout d’un coup, il perd le fil ! Bien sûr, il a un
conducteur bien fait sous ses yeux, mais il a tout de même
un moment difficile à passer.

Comment faire pour que le public ne s’en aperçoive pas
trop ?

1. Ne paniquez pas ! L’affolement aggraverait votre
situation.

Les crispations musculaires qui s’ensuivent, le manque de
respiration n’auront pour effet que de vous faire tomber
dans un trou encore plus noir !

2. Respirez calmement. Ainsi votre cerveau peut continuer
à fonctionner normalement, on reste bien oxygéné. Pendant
que vous respirez et cherchez la suite, gardez un sourire
sympathique sur votre visage.

3. Répétez la dernière phrase que vous avez prononcée :
“Ceci est si important que, je répète… ”

Cette répétition de la dernière pensée a souvent pour
effet de re-déclencher le processus.

4. Reformulez ce que vous venez de dire :
“Nous devons appliquer intégralement et exactement tout ce
qui est décrit dans le manuel.”

“Comme je viens de vous le dire, nous devons suivre et
faire à la lettre tout ce qu’il y a dans le manuel”

5. Faites une “pause réflexion”. Arrêtez-vous carrément de
parler. Montrez que vous réfléchissez et dites :
“Je me demande si je me suis clairement expliqué, c’est si
important que je vais vous le répéter… ”

Pendant que vous dites ces mots, votre cerveau continue sa
recherche. Répéter ce que vous venez de dire demande moins
de concentration, il vous reste donc du temps pour
chercher la suite.

6. Posez la question à vos auditeurs :
“Qui peut me répéter le dernier point ?” ou bien :
“Quel est le point 3 ?”, “Qui’ sait ce qui va suivre ?”,
“Qui peut compléter ?”

En général vous trouverez toujours un auditeur qui sera
ravi de montrer qu’il connaît la réponse ou qui vole à
votre secours. De plus, cela vous fait gagner du temps
pour réfléchir.

7. Passez tout simplement au point suivant. Personne ne
sait exactement ce que vous vouliez dire comme point
suivant.Il n’y a que vous qui connaissez votre manuscrit.
Si c’était un point important, il ressortira ou un
auditeur posera tout simplement la question
ultérieurement.

8. Dites avec simplicité à vos auditeurs que vous avez
perdu le fil, et cherchez la suite dans vos notes.

9. Si la situation le permet, faites une pause.

** Et n’oubliez jamais**

Un moment de silence paraît une éternité à l’orateur,
mais souvent, le public ne s’en aperçoit même pas et,
comme l’erreur est humaine, une petite pause fait souvent
gagner la sympathie des auditeurs. Ils se montrent,
en général, tout prêts à aider l’orateur à s’en sortir.

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Passez une bonne soirée, malgré une mauvaise journée

Il y a des journées où tout va mal ! Comment faire pour,
le soir en rentrant, ne pas faire “profiter” tout votre
entourage de votre mauvaise humeur ?

**Utilisez un geste symbole**

En quittant votre bureau, fermez-le à clé, faites-lui
un gros baiser d’adieu, etc. Tout geste qui symbolise
le fait d’enfermer, de quitter, de laisser vos soucis
derrière vous est bon !

**Créez une Image mentale positive**

Cela vous permet de couper le flux des pensées obsédantes
de la journée.

Si vous le pouvez, fermez les yeux sinon, tout en
conduisant, pensez à des choses agréables, relaxantes
pour vous.

Imaginez-vous en train de boire un whisky ; souvenez-vous
de la joie de votre dernier dimanche où vous faisiez
du vélo ; ou pensez tout simplement à ce qui vous relaxe
le plus.

Dès que vos pensées s’échappent et repartent vers le
travail, remettez-les doucement dans le droit chemin !

**En arrivant chez vous, saluez tout le monde
chaleureusement**

Faites-le avec un grand sourire, puis disparaissez pendant
10 minutes. Prenez une douche. Mais, surtout, changez de
vêtements. Tout en vous déshabillant, imaginez-vous que
chaque vêtement est un bout de vos soucis crue vous
laissez derrière vous.

**Si vous le pouvez, allez faire une ballade**

Activez-vous physiquement, cela vous fera du bien.
Occupez-vous de vos enfants ou de votre compagne, et là,
la bonne humeur régnera.

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La méthode des 4 points pour attaquer un problème

Par cette méthode, vous résoudrez vos problèmes
plus rapidement et plus efficacement.

Utilisez la méthode des 4 points pour vous assurer que
votre attitude vis-à-vis du problème est rationnelle et
que votre solution est bien pensée :

1. Définissez le problème très clairement Vous devez
pouvoir l’écrire de façon très concise. Dites-le à haute
voix. Souvenez-vous : ce qui se conçoit clairement,
s’énonce clairement !

2. Partez à la recherche de l’information qui va vous
aider à trouver la solution

Étudiez et faites des recherches d’idées nouvelles, sans
oublier les expériences passées qui peuvent être très
riches en enseignement.

3. Dormez sur votre problème

La nuit porte conseil !
Laissez votre subconscient travailler pour vous et vous
aider à trouver une réponse.

4. Testez votre réponse. Parlez-en autour de vous et
encouragez les autres à s’exprimer.

Lorsque vous travaillez en équipe, encouragez tous vos
collaborateurs à avoir une attitude positive vis-à-vis
d’un problème et à trouver la solution eux-mêmes.
Pour cela, vous devez :

1. Ouvrir tout grand tous les canaux de la communication.

Donnez à tout le monde la possibilité de s’exprimer.
Partagez la recherche de solutions, mais aussi les
résultats !

2. À part en temps de crise ou de problème vraiment
urgent, laissez-leur du temps pour développer une réponse
et suivre la méthode des 4 points pas à pas.

En règle générale, les idées créées sous pression sont
moins bonnes que celles qu’on laisse “tirer comme du bon
thé”.

3. Apaisez la peur du ratage ! Faites savoir qu’il est
préférable d’essayer et de rater, que de ne rien faire du
tout !

“Rire, c’est risquer de paraître idiot.

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.

Tendre la main, c’est risquer de s’impliquer.

Exposer ses sentiments, c’est risquer d’être rejeté.

Faire part de vos rêves à la foule,
c’est risquer de paraître ridicule.

Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour.

Aller de l’avant malgré les probabilités contraires,
c’est risquer l’échec.

Mais il faut prendre des risques, car le plus grand danger
dans la vie,   c’est de ne rien risquer. Celui qui ne fait
rien n’a rien. Il peut éviter de souffrir et de pleurer,
mais il ne peut pas apprendre, sentir, changer, grandir ou
aimer. Seul est libre celui qui prend des risques.”

(Auteur inconnu)

Protégé : Négocier et réagir face à un expert

Vendredi 6 mai 2011

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Comment avoir plus d’impact au téléphone?

Vendredi 6 mai 2011

copywriting telephone parler communiquer commentAu téléphone, le son de votre voix est encore
plus important qu’en “direct”. Lors d’une
conversation, vous pouvez vous aider de
votre langage du corps, et souligner vos
mots par des gestes. Au téléphone,
votre interlocuteur ne vous voit pas.
Votre voix reste donc le seul support !

Toutes nos voix sonnent différemment.
Il y a les voix profondes ou aiguës, les
agréables ou les ennuyeuses, les fortes
ou les faibles, les faciles à écouter, d’autres
plus difficiles à entendre.
Nous avons une voix bien à nous. Jusqu’à un certain point, nous pouvons tous agir sur notre voix et la changer.

Voici quelques points à observer si vous voulez être bien entendu
au téléphone :

L’énergie
Une voix énergique relate votre enthousiasme. L’énergie de la voix
passe aussi par votre corps. Une attitude bien droite facilite les choses.

La vitesse
Si vous parlez trop vite, vous créez des difficultés de compréhension.
La bonne moyenne se situe aux alentours de 125 mots à la minute.
Faites des pauses - respirez - sinon vous trahissez votre nervosité.

Le rythme
Une voix monotone est ennuyeuse. Parlez plus vite - plus lentement.
Jouez avec le rythme. Plus le rythme du débit est varié, plus vous êtes
passionnant à écouter.

Le volume
Les variations du volume donnent du relief et des couleurs à la voix.
Si vous parlez toujours trop fort (ou pas assez fort), vous fatiguez
votre interlocuteur.

Comment s’y prendre ?

1. Avant de téléphoner, chauffez votre voix. Chantonnez doucement
(sans paroles). Cela rendra votre voix plus chaude, plus profonde.

2. Enregistrez vos conversations téléphoniques, réécoutez-les et
analysez votre degré d’ÉNERGIE, la VITESSE, le RYTHME et le
VOLUME de votre voix.
Écoutez votre bande plusieurs fois et travaillez, point après point,
ce que vous souhaitez changer.

3. Faites des jeux de rôles avec un ami. Enregistrez des coups
de fils simulés et analysez-les ensemble.
En général, demandez à des personnes de votre entourage, en qui
vous avez pleinement confiance, ce qu’ils pensent de votre voix.

4. Suivez un séminaire de communication orale. Vous aborderez
facilement les problèmes de voix et de respiration !

Un dernier point : SOURIEZ ! C’est simple : dès que vous êtes au
téléphone, pensez à sourire ! Votre sourire s’entend dans votre voix.
Ainsi vous aurez une voix chaleureuse et plus attirante !

Comment parler aux mordus du téléphone
Un jour, l’ambassadeur de Grande-Bretagne fut reçu à la
Maison Blanche par le Président Franklin Roosevelt.
Comme tous les présidents du monde, le Président des
États-Unis était un homme très occupé. Mais il avait la
fâcheuse habitude de prendre ses appels même en présence
d’un invité de marque.

Et comme le téléphone sonnait continuellement, la conversation
entre les deux hommes ne progressait guère et le pauvre
ambassadeur commençait à craindre de ne pouvoir aborder
les sujets pour lesquels il rencontrait le Président.
Que faire ?
Il ne pouvait tout de même pas se mettre en colère et reprocher
à son prestigieux interlocuteur de l’interrompre continuellement.

Il eut une idée.
Pendant que le Président était absorbé par une conversation
téléphonique, il quitta discrètement son bureau pour lui…
téléphoner !Et il put enfin discuter de tous les sujets qu’il
souhaitait !©communicateurs-efficaces

Protégé : Un secret des grands communicateurs en 11 points

Vendredi 6 mai 2011

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Comment rédiger facilement vos rapports et mémos

Jeudi 24 mars 2011

 memo note rapports ecrire comment efficaceLes rapports un peu longs ne sont que très rarement lus en entier. Au-delà de 2 ou 3 pages, vous devez tout faire pour les rendre plus faciles à lire, à comprendre et
à utiliser. Dans ce cas, vous devez organiser vos rapports de la manière suivante :

1. Faites une page de couverture
Elle va résumer l’essentiel du rapport, c’est-à-dire son objectif,les points clés, les éléments essentiels de la conclusion et les recommandations.

2. Commencez par un résumé des points principaux ou par un plan
Le corps de votre document contiendra le développement des points principaux ainsi que le chemin qui a mené aux conclusions et l’argumentation logique qui justifie les recommandations.

3. Pensez aux annexes
La troisième partie indiquera l’origine des informations, les références, les sources et la bibliographie.

Pour des rapports courts et répétitifs

Créez un formulaire standard, des check-lists ou des listes avec des cases à cocher. Laissez de la place en fin de page pour vos commentaires ou vos observations.
Vous gagnerez du temps et votre destinataire saura immédiatement où trouver l’information qui l’intéresse.

Rédiger un mémo efficace : les 3 étapes à suivre

1. Trouvez l’idée principale
Faites un brouillon dans lequel vous jetez en vrac vos idées. Puis, fermez les yeux et tentez de répondre en une phrase à la question suivante : “Qu’est-ce que je veux dire ?”. Répondez : “Je voudrais…”.

Je voudrais que votre banque finance ce projet…

Soulignez chaque phrase qui correspond à cette idée. Ce sont les lignes de force de votre mémo.

2. Répondez aux besoins du lecteur
Votre destinataire se pose 3 questions : “Pourquoi devrais-je lire ceci ?”
“À quels problèmes personnels répond ce mémo ?”
“Comment y répondre ?”

Réfléchissez au moyen de présenter votre idée principale, en répondant à ces 3 questions.

3. Faites une conclusion efficace
La conclusion est votre dernière chance de convaincre. Elle restera dans l’esprit du lecteur.

Suivez ce plan :
A. Montrez votre bonne foi. C’est ce dont le lecteur se souviendra.

B. Dites une seule chose importante. Par exemple :
“L’achat de cette machine pourrait nous faire économiser 7 000 euros au cours des 3 prochaines années.”

C. Rappelez à votre lecteur ce qu’il devrait conclure de votre mémo et ce qu’il devrait faire, après l’avoir lu.

Les 4 situations où il ne faut jamais écrire de mémo

Avant d’écrire un mémo, souvenez-vous que les écrits restent des mois, même des années après avoir été écrits !

Les mémos sont adaptés pour :
- Annoncer une bonne nouvelle, féliciter quelqu’un, ou lui confirmer une promotion.
- Transmettre une information.
- Demander une promotion ou une augmentation (laisse une trace).
- Confirmer une information.

Mais ils ne sont pas du tout adaptés pour :
- Vous plaindre
Si le département voisin (ou quelqu’un) crée un problème, considérez les risques que vous prenez d’entamer sérieusement les relations avec votre entourage (même des années plus tard !). Souvent, il vaut mieux discuter du problème face à face !

- Annoncer une mauvaise nouvelle
Les mots écrits ont plus d’impact et ont tendance à provoquer une réaction exagérée, sans que vous puissiez vous en rendre compte rapidement. Mieux vaut le faire
verbalement et contrôler ainsi la situation.

- Accuser ou menacer
Un mémo peut vous suivre toute votre vie !

- Critiquer
Si vous êtes obligé de le faire, soyez très spécifique et excluez toute attaque personnelle.

source: communicateurs-efficaces.com ©

Quelles Transitions pour Maintenir l’ Attention ?

Dimanche 28 novembre 2010

Mener les auditeurs d’un point à un autre lors d’une communication, ce n’est pas toujours facile.

capter public attention copywritingCela leur demande un effort d’attention plus intense.
Vous devez utiliser tous les moyens possibles pour éveiller cette attention :

- Utilisez à fond les moyens visuels : après avoir traité un point, éteignez votre rétroprojecteur, changez de transparent, etc.

- Utilisez votre langage du corps pour signifier le changement : si vous étiez assis, levez-vous !
Si vous étiez debout, asseyez-vous !

- Attention à votre voix : parlez plus fort et plus vite ou moins fort et plus lentement.

- Privilégiez les phrases de transition.

1. Après avoir terminé avec le point précédent,
marquez une pause, laissez aux auditeurs le temps
d’assimiler ce qu’ils viennent d’entendre.

2. Annoncez-leur ce que vous allez leur dire :
… maintenant, nous avons vu le point 1,
passons à… … voici la deuxième idée…
… passons aux autres cas…

3. Après avoir énoncé votre phrase de transition,
faites une nouvelle pause et laissez les auditeurs
se préparer mentale ment à recevoir la suite de
l’information.

Les phrases de transition vous permettent de prendre
les auditeurs par la main. Vous les menez à travers
votre exposé, en diminuant considérablement le risque
de les perdre en route.

Et, en plus de tout cela, votre communication gagnera
en “liens”. Elle sera plus agréable et plus facile
à suivre. ©communicateurs-efficaces

Comment conclure une lettre, une réunion, un discours…

Mardi 23 novembre 2010

Vous avez certainement déjà assisté à une réunion
qui traîne en longueur, qui n’arrive pas à se terminer !

discours conclure public lettre réunion copywritingSavez-vous, lorsque vous êtes vous-même l’animateur
d’une réunion, quand il faut l’arrêter ?

Parfois, un groupe arrive au point où il ne peut plus fournir de travail constructif, où les décisions qui pouvaient être prises sont prises. Où il ne sert plus à rien de continuer à discuter en rond, il vaut bien mieux arrêter, même si ce n’est pas encore l’heure prévue pour
la fin : personne ne vous en voudra d’être libéré plus
tôt !

Il faut conclure lorsque :

-> il est indispensable d’avoir des apports
de personnes qui ne sont pas présentes à la réunion ;

-> il vous est nécessaire, pour prendre une décision,
d’avoir plus d’informations à votre disposition ;

-> vous avez atteint la limite du temps prévu
pour la réunion et que le groupe est encore loin
d’une décision ;

-> la présence de tout le groupe n’est plus nécessaire
parce qu’un groupe restreint peut résoudre le problème.

À la conclusion de la réunion, l’animateur doit :

-> toujours rappeler les décisions qui ont été prises
ainsi que celles qui le seront plus tard ;

-> indiquer clairement les actions à entreprendre
par chaque participant, avant la prochaine réunion.

En quittant la réunion, chaque participant doit savoir:

- pourquoi il était à cette réunion ;
- ce qui y a été accompli ;
- ce qu’il reste à faire ;
- qui est responsable du suivi.
©communicateurs-efficaces

Protégé : Pourquoi un client achète-t-il cela ?

Mardi 23 novembre 2010

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Protégé : Comment réussir votre interview avec un journaliste ou un média

Mardi 23 novembre 2010

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Protégé : Maîtrisez l’art de faire des concessions

Mardi 23 novembre 2010

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